Bloodyheart

tribulations

Samedi 14 novembre 2009 à 20:40

Il est saisissant d'observer le comportement des gens qui nous sont proches, de voir ces changements d'attitudes qui trahissent quelque chose.
Que nous cachent-ils ? Envisagent-ils de changer le statut, qui est le notre ? ou seulement, hésitent-ils a nous demander un conseil ou autre ?
Que de questions qui peuvent venir, pour un simple changement d'attitude.
on se trahi souvent par notre comportement, nos petites manies qu'ont change sans ce rendre compte.
Doit-on crever l'abcès ? ou, se taire pour voir l'évolution de tous ça ?
On répondra tous, qu'il faut crever l'abcès. Mais finalement, et si tous ça n'était que le fruit de notre imagination ?
Finalement les gens changent, ils sont portés par l'inspiration du moment. Même si cette inspiration casse certaines choses.

Ne pas ce poser de question, et laisser faire. Crever l'abcès, si c'est intenable pour soi.
C'est ma décision.


Vendredi 13 novembre 2009 à 12:55

C'est difficile de comprendre que je n'ai pas envie de voir du monde ?
Je n'aime pas les sorties en groupe, car elles font me sentir seul au monde. J'entends plus les conversations au bout d'un moment, mon esprit s'isole et là tout mes pensés vont vers mon amertume de la vie et vers toi. Je regarde dans le vague mes ami(e)s s'amuser, passer un bon moment. Je ne suis plus avec eux, malgré ma présence.
Les commentaires sur ma vie, comme quoi je devrais sortir plus, voir ailleurs, lâcher ce a quoi je suis attaché, me démoralisent plus qu'autre chose.
Je donne tant l'impression de gâcher ma vie ?
Je loupe surement des moments de bonheur, peut-être ai-je tort. Mais je ne peut aller contre ma nature.
Un jour tout ça cessera, la raison l'emportera peut-être. Je ne suis pas stupide au point de me laisser détruire inexorablement par ma souffrance latente.
Je suis juste mal...j'ai juste peur....



"Je hais ces coeurs pusillanimes qui, pour trop prévoir les suites des choses, n'osent rien entreprendre" (MOL. Scapin, III, 1)


Je fais de mon mieux Jean-Baptiste... é_è

Mardi 10 novembre 2009 à 10:15

Hier, j'ai fait un bref passage aux urgences. Histoire de rassurer ma soeur de coeur, sur un souci que je traine depuis un petit moment.
J'ai donc passé un bon moment en salle d'attente, car j'attendais les résultats sanguins. J'ai donc eu loisir à observer les gens.
Je suis comme ça, j'aime décortiquer les gestes, les comportements. J 'ai une fascination pour observer les couples matures, je trouve touchant les petits gestes qu'ils ont après des années passé ensemble.
Des gestes que la plupart des jeunes couples n'ont plus au bout de quelques mois, cela dit en passant. Enfin bref, je suis donc tombé sur deux personnes a observer et écouter (oui, c'est mal d'écouter ^^).
L'homme étant la personne malade, il semble que cet personne avait des soucis d'épilepsie. Un mal que je connais, par le biais d'une amie charmante, et qui m'a révélée la dureté de la maladie.
Revenons sur notre couple, donc l'homme est malade et non la femme. Je me suis attardé sur ce couple car j'étais intrigué par le coté "dépendant" qu'avait l'homme envers sa femme. Elle l'aidait pour tout, et lui réagissait comme un enfant.
J'ai découvert rapidement le mal plus profond qui le rongeais, de par les symptômes qu'il manifestait. A savoir, une dépendance pour des gestes simple, un confusion manifeste et le plus frappant, une fâcheuse tendance a répéter la même question toute les 10 mins. Il oubliait vraiment sous l'effet du stress, la réponse désespérée de sa femme.
J'ai été marqué par son visage d'enfant marqué par la peur, et par le désespoir de cette femme fatiguée d'efforts au quotidien.
Passons, ma réflexion n'est point impliquée par cette maladie, mais par le dévouement d'une personne pour un être aimée.
Je trouve ce sacrifice émouvant, et je sais pas si ça vient de moi, mais j'ai l'impression que seul cette génération là est détentrice de ce dévouement.
J'avoue que ma réflexion véritable s'est plus poser sur cette question : trouverais je un amour aussi dévoué ?
J'en suis venu a me demander ce que j'aimerais si j'étais atteint par un mal similaire plus tard, comment verrais-je la meilleur des solutions.

ralala, comment se prendre la tête avec des questions, alors que j'ai même pas atteint le premier stade. A savoir, être avec la personne aimée.

Dimanche 8 novembre 2009 à 18:45

Un an de complicités, de partages, de reconnaissance.
Un an de joies, de pleurs, de petits trucs banales qui ont leur importance.
Tu es l'une des meilleurs choses qui me soit arrivé dans la vie.
Sans toi, je ne serais pas beau a voir aujourd'hui.

Je suis souvent troublé tellement nos liens sont forts.
Depuis longtemps, tu es ma dernière pensé quand je m'endors
Tu es mon oxygène dans mes moments de doutes, de peines.
Il m'est difficile d'imaginer la vie, si elle est éloignée de la tienne.

Chaque fois que tu pleurs, que tu as mal, c'est mon coeur qui souffre et pleur.
Tu ne me dis pas tout sur toi, je le respecte même si l'ignorance me fait peur.
Je ne sais si tu te rend compte de la difficulté que j'ai fasse à moi.
Il m'arrive de me demander si tu vois l'amour que j'ai pour toi.

J'essai de ne pas être égoïste, de te laisser ton libre arbitre.
Même si du coup, c'est n'est pas mon coeur que j'abrite.
Quoi que tu fasse, une part de mon coeur t'appartient.
Quelque soit tes choix, mon amour est tien.

Je te respecterais et j'aurais toujours de l'amour a t'offrir.
J'effacerais ces larmes et t'aiderais à sourire.
Je n'ai pas la prétention de pouvoir donner tous ce que tu veut.
Je ne peut garantir que mon amour et tous ce que je peut.


Jeudi 5 novembre 2009 à 22:20

"tu ne me reverras plus jamais.je ne reviendrais pas. (...) Ce sera comme si je n'avais jamais existé."


Les fans de Twilight reconnaitrons ce passage. Je sais pas pourquoi, ce passage me parle.
Peut-être parce qu'il m'évoque le passé, celui  avec les gens qui tenaient une place importante de ma vie.
"Tenaient" car ils ne sont plus là maintenant, pour diverses raisons. Je pense surtout à mes exs, pour qui j'avais un amour aveugle (oui, l'adage est réel ^^).
je me rend compte aujourd'hui encore, qu'il est simple doublier loin des yeux. Et que c'est la meilleur des solutions dans pas mal de cas.
laisser vivre les gens et rompre doucement les liens, oui des fois c'est se qu'il faut...des fois.


 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast