Bloodyheart

tribulations

Samedi 12 juin 2010 à 10:16

Demain, direction la Rochelle. Plus de 5 ans que j'ai pas vu mon frère, ça va faire bizarre...
Visite d'appart à Bordeaux lundi et mercredi, tout se décide là ... Je vais voir les agences d'interim en même temps, histoire de voir ce que l'on me dit.
Le temps est venu d'avancer et de construire une nouvelle vie, de poser les premières pierres de notre vie.
Je suis bien là, pas de stress, pas de peur. Malgré les insomnies, cette semaine à été parfaite pour le moral. Même avec ce Mercredi soir qui a marqué le retour d'un empêcheur de tourner en rond.
J'ai hâte que tout commence, et d'être en fin d'année pour t'accueillir dans notre nouvelle ville, vie...

Je reprend gout à l'envie de vivre, et c'est grâce à toi.

Mardi 1er juin 2010 à 3:45

Peur d'être sincère, souffrance de trop aimer...
Etre consentent pour sa propre souffrance. Jongler entre des moments de bonheur et des moments de souffrance, espacés des fois que par des heures.
Un coeur qui saigne, un ventre qui se noue...un mal unique. Un mal qui vous dévore en permanence. Un mal sans douleur physique, qui vous fait couler tant de larmes.
Ce mal est un petit sadique, le pire qu'il soit. Il vous donne du répit pour que vous vous endormiez et vous réveil d'un coup pour se rappeler à votre "mauvais" souvenir. Il ronge "doucement mais surement" avec une infime précision. ça c'est du professionnalisme !
Les symptômes suivent : dégout de soi même, perte de toutes espérances, perte d'envie pour la ...vie .
Et ce n'est qu'une poignée, des symptômes multiples.
"Le temps efface toutes les plaies"    huhu !!! l'humanité est d'une naïveté...Comme le commun des mortels, on se dira qu'on ne se fera plus prendre, qu'on ne doit pas recommencer....pathétique...ne dit-on pas "la vie est un éternel recommencement" ? 
haha !!!  Je me pourri moi même, j'adore !  C'est un symptôme aussi...notez le !
Trop offrir, trop escompter, une confiance aveugle, malgré les coups de bambou sur la tête. Le savant mélange pour que tout vous "pète à la gueule"... plusieurs fois. Et oui !! Je l'ai dit au début "être consentent pour sa propre souffrance".
Cette faiblesse de tomber amoureux, véritable fardeau ? Un mal être indéniable, une incertitude constante....cette foutue incertitude. Vais-je la perdre ? Ou plutôt   Dans combien de temps, vais-je la perdre ? quelques jours, quelques mois ?

Ne rien dire, laisser faire, mettre de coté son orgueil et ses doutes. Paraitre comme il est désiré et attendre tel un condamné à mort qui attend son heure...Continuer de feindre de vivre et attendre le couperet.
Attendre que le temps s'écoule... perdu dans ses rêves au milieu de l'épais brouillard, des Landes Imaginées...

Trouverais-je le chemin, un jour ?

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast